| |||||
| |||||
| |||||
| |||||
| |||||
| |||||
| |||||
| |||||
| |||||
|
Labels
- ABRAHAM LINCOLN
- UN MONDE PLEINS DES CYNIQUES
- 1958. p. 49. New York Times
- A LETTER WHICH SAYS A LOT ABOUT CENSORSHIP
- ARGENTINE.
- ARTICLES FROM SPACE COM
- ARTICULO DE OPINION N°1
- Arizona high court rules in favor of Christian artists
- Ayn Rand
- Beaten and Threatened for Defending Women’s Rights
- CAPITOLIO NACIONAL DE CUBA
- CLIMATE WARMING
- CLIMATE CHANGE LIES
- CUBA ARCHITECTURE ONE
- Canada Lost $17.13 Billion Over 3 Yrs Because Liberal Trudeau Blocked Canada Pipe
- Clarion EXCLUSIVE Report: Foreign Influence Ops on US
- Climate change activists have become even more radical and hysterical
- DEMOCIDIO
- DIACONO JORGE SONNANTE
- Definición de Destierro
- Dems Bet It All on a Telephone Call Transcript
- Does anyone tell the truth anymore?
- Donald Trump hosts Indian Prime Minister Narendra Modi at Texas rally
- Ecosystem of Incitement VIDEO
- Einstein's Biggest Blunder' May Have Finally Been Fixed
- Fly Open Photo of Justin Trudeau Resurfaces
- Frases de José de la Luz y Caballero
- Giuliani responds to Graham's Senate testimony invitation
- Giuliani: Hunter Biden Laundered $3 Million
- Global Warming Is a Total Hoax
- HANOI JANE TREASON INVESTIGATION JULY 1972
- HURRICANES HAVE THE SAME DYNAMIC OF THE TORNADOES
- HYSTERICAL CONTRADICTIONS !
- Here’s what’s going on
- It's not just the enemy killing U.S. soldiers.
- January 8
- Jordan Peterson: The Left's new public enemy No. 1
- LA BATAILLE CONTRE LES EXTREMISTES
- LA NIÑA DE PLACETAS
- LA NIÑA DEL ESCAMBRAY.
- LIST OF BANKS EXISTING IN CUBA PRIOR TO 1959
- LIST OF THE CUBAN BANKS PRIOR TO 1959
- LISTA DE HOSPITALES EN CUBA ANTES DE 1959
- More buckets of icy cold energy reality
- N'EST PAS FINI...!
- NOBAMA'S Cult bullying cleverly disguised!
- NOTABLE CUBAN PEOPLE
- ON THE NIQAB or BURKA and THE HYPOCRISY BEHIND THE
- POLITICAL INDOCTRINATION AGENDAS
- Pants Down
- Probe into anti-Trump dossier expands to Obama
- STARVATION IN THE CHACO
- Schiff's Deep State Collusion
- Shireen Qudosi: Why I Haven't Left Islam
- THE BLIND GENERATION
- THE FAKE NEWS OR BIASED JOURNALISTS IS AN OLD THING.
- THE HOAX OF CLIMATE CHANGE
- THE JEWS OF CUBA
- THE LEFT IS LEFT WITH ONLY ONE FAKE CARD
- THE TRUTH ABOUT CLIMATE
- THEY WERE ALWAYS BETRAYING AMERICA AND THE WEST
- The 2019 Best Countries rankings
- The Biggest Lie Ever Told – Man-made Global Warming !
- The Democrats/Media’s Trump Impeachment By Video
- The “climate doom” timeline
- There’s One Tiny Problem With the New Brett Kavanaugh Allegation
- Trump Admin Challenges University Program Promoting Islam
- Trump First US President to Proclaim Right to Religious Freedom at UN
- Trump Victimized By The Swamp Again
- U.S. Code § 2000a.Prohibition against discrimination or segregation in places of public accommodation
- VIDEO: Students say impeach Trump…but can’t give reason
- WILL THIS RABID WOMAN BECOME THE NEXT PRESIDENT ?
- Whistleblower Leaks Secret Video
- right on point!
Saturday, May 30, 2020
WFP Warns COVID-19 Pandemic Could Mean a Food Crisis in Latin America
Friday, May 29, 2020
Carmaux : socialisme donc pauvreté
Des cubains en fuite du régime de Castro
Des venezoliens en fuite du régime de Maduro-chavez
Une famille des cubains a l'entrée de leur édifice commune pour plusieurs familles apelés
" solares "
On se débrouille à Cuba sous les Castros
21 May, 2020
Carmaux : socialisme donc pauvreté
Jean-Baptiste Noé
Parmi les thèmes et les analyses de la géopolitique, il y a ceux de la pauvreté, du développement, des ressources et de leurs usages.
La question est celle du rapport entre déterminisme et volontarisme et celle du rapport entre les territoires et ce qu’en font les hommes.
Le détour par l’histoire économique permet d’appréhender ces rapports.
La ville de Carmaux dans le Tarn (81) en est un bon exemple. Ancienne ville industrielle construite autour de l’extraction minière du charbon, Carmaux s’est développé à partir du XIXe siècle, avant de péricliter dans les années 1970 conséquemment à la fermeture des puits. C’est aujourd’hui une ville pauvre, au taux de chômage élevé, au prix immobilier faible (ce qui montre que le territoire est répulsif) dont une traversée du centre-ville permet d’observer une litanie de boutiques fermées et de devantures délabrées. Les friches industrielles des anciens bâtiments miniers sont encore observables, partiellement détruits, partiellement gagnés par la nature. La messe semble dite : Carmaux a été victime de la mondialisation et de la concurrence internationale qui a provoqué fermeture des mines, désindustrialisation et pauvreté.
MAIS LE SOCIALISME VENEZUELIEN FAIT CE-CI...VOIR LES PHOTO CI-DESSOUS ...!

Mais Carmaux est aussi le laboratoire français du socialisme.
C’est là que s’est installé un jeune professeur de philosophie né dans le sud du département, Jean Jaurès, qui après un passage par le parti républicain classique a pris sa carte au parti socialiste et s’est fait élire député dans la circonscription de Carmaux. La ville est l’une des premières à avoir élu un maire socialiste, parti qui dirige la mairie sans discontinuer depuis 1892.
Comme toutes les villes socialistes, on observe depuis une petite dizaine d’années une poussée du Front National, mais pas encore assez puissante pour prendre la ville. Une immense statue de Jean Jaurès trône au centre d’une place qui porte son nom. Les noms des rues et des bâtiments illustrent l’histoire du socialisme.
C’est à Carmaux que François Mitterrand a commencé sa campagne électorale de 1981. Plus tard, François Hollande avait expliqué que si Ségolène Royal avait perdu en 2007, c’est parce qu’elle n’était pas venue à Carmaux. Lui-même s’y est rendu lors de sa campagne victorieuse de 2012. Venir à Carmaux, s’est se rattacher au vrai socialisme, au monde ouvrier, aux espoirs de la gauche.
Mais derrière l’histoire officielle se découvre une autre histoire, qui montre un autre visage de la ville. Carmaux est le fruit de deux traditions : celle du socialisme, incarné par Jaurès et Mitterrand, et celle du capitalisme paternaliste, incarné par la famille Solages.
Une ville fondée par une famille
Venue du Rouergue, un premier Solages a commencé à organiser l’exploitation de la houille sous le règne de Louis XV. Ayant obtenu une concession royale et un anoblissement, il a développé l’activité industrielle de ce petit village, autour de la houille et du travail du verre (verrerie), qui nécessite un combustible puissant et à bas prix. La famille Solages est ensuite devenue propriétaire des mines et n’a cessé de développer d’un côté l’activité industrielle, de l’autre l’activité sociale. Fortement marqué par le catholicisme social, le marquis Ludovic de Solages a rencontré le pape Léon XIII, l’auteur de l’encyclique Rerum novarum, dont il a essayé d’appliquer les principes dans sa ville. Une grande partie de Carmaux a été construite sous son impulsion. Des logements pour les ouvriers, maisonnette simple, avec jardin et confort moderne pour l’époque, insérée dans un parc ; hôpital pour soigner les mineurs et leur famille ; bains-douches, parcs, jardins et grands bassins, pour l’hygiène et le soin des corps ; écoles, gratuites pour les enfants, confiées à des congrégations religieuses ; églises ; bâtiments administratifs des mines. À cela s’est ajoutée la création de mutuelles, de caisses de secours et de caisses de retraite, afin de venir en aide aux veuves, aux familles blessées et aux ouvriers indigents. Et bien sûr, comme dans de nombreux endroits en France, le soutien apporté au sport qui, dans le Sud-Ouest, rime avec rugby. Le club de Carmaux a connu son apogée en 1951 en devenant champion de France et en inscrivant son nom sur le bouclier de Brennus.
Les deux hommes illustrent bien les deux traditions françaises. D’un côté le socialisme révolutionnaire idéaliste, qui croit à la transformation sociale par la loi ; de l’autre l’entrepreneuriat et l’action économique, qui voit dans le progrès technique le moyen du progrès social.

Les nationalisations d’après-guerre.
Les mines de Carmaux ont été nationalisées après la Seconde Guerre mondiale et intégrées dans la société nationale des houillères d’Aquitaine. Les Solages ont été expropriés et plus rien dans la ville ne mentionne leur histoire : ni nom de rue, ni monument, ni plaque.
Aux charmantes maisons ouvrières, sobres et bien agencées, la mairie socialiste a répondu, dans les années 1970, par l’édification de barres HLM en centre-ville qui ont défiguré celui-ci et qui sont aujourd’hui d’une grande laideur. Cet exemple illustre parfaitement la démonstration de Philippe Nemo dans son Esthétique de la liberté : la liberté produit du beau, le socialisme produit de la laideur.
Les mines ont commencé à péricliter dans les années 1960, puis à fermer dans les années 1970. Dans un entretien accordé à
"La Dépêche du Midi " au moment de la nationalisation, Thibaut de Solages, le dernier propriétaire des mines, expliquait que le charbon de celles-ci était en train s’épuiser, qu’il n’était pas de bonne qualité, que les mines arrêteraient de fonctionner d’ici vingt ans et qu’il fallait donc dès maintenant penser à la reconversion économique. Ce qu’il annonçait là en 1947, c’est exactement ce qui s’est passé.
Ce qui signifie qu’une autre histoire était possible et que la désindustrialisation, avec son lot de chômage et de pauvreté, n’était pas une finalité.
Imaginons que les mines n’aient pas été nationalisées et que la famille Solages soit restée à la tête de l’entreprise, on peut penser qu’ils auraient cherché à diversifier l’activité économique et à assurer une transition entre l’industrie minière et une autre industrie. Thibaut de Solages avait lui-même investi dans plusieurs sociétés aéronautiques, en lien avec le pôle de Toulouse, qui commençait à prendre de l’ampleur. En 1962, à Castres, un pharmacien alors inconnu, Pierre Fabre, commençait à développer son activité pharmaceutique, qui est aujourd’hui le troisième groupe pharmaceutique français. On aurait très bien pu imaginer une connexion entre les laboratoires Fabre de Castres, l’aéronautique de Toulouse et le tissu industriel de Carmaux. Une autre histoire économique était donc possible.
Dans les années 1970, Michelin avait proposé d’ouvrir une usine de pneus à Carmaux et d’embaucher des mineurs afin de les reconvertir. La CGT s’opposa à la venue de cette usine, craignant de perdre sa main mise sur la ville et sur le monde ouvrier. Pas de reconversion donc, mais du chômage.
Corruption et connivence.
Lorsque j’étais enfant, j’ai souvent entendu dire que telle personne avait eu un emploi parce qu’elle « avait la carte » et je me suis souvent demandé qu’elle était cette mystérieuse carte qu’il fallait avoir pour décrocher un emploi, un logement ou un autre service utile. Il s’agissait de la carte du parti socialiste qui, dans cette région, ouvre bien des portes, et notamment les subventions publiques.
Les années 1990 ont notamment été marquées par la faillite d’un groupe agro-alimentaire de fabrication de cassoulet, installé sur la commune grâce à de généreuses aides publiques, bénéficiant de marchés publics de restauration léonins et finançant une partie des campagnes électorales du coin.
Le problème de la corruption, c’est que non seulement elle brûle de l’argent public, mais qu’elle assure des postes aux gens médiocres, bloquants ainsi l’ascension et le développement possible d’entrepreneurs, qui n’ont pas d’autre choix que d’aller ailleurs. Cela empêche donc le développement de la région.
La pauvreté et la misère deviennent une rente politique à exploiter. Si jamais la ville se développait, la population serait modifiée et donc le corps électoral, ce qui ferait sauter les rentes de situation politique.
Après la fermeture des mines, il a été décidé d’acheter la paix sociale en créant une mine à ciel ouvert : La Découverte. Un immense trou fut creusé, de 230 mètres de profondeur et 1 300 mètres de diamètre, qui engloutit des millions et dont ne sortit presque pas de charbon. Puis le trou fut reconverti en parc de loisirs en 2003. Un investissement de 66 millions d’euros, qui accueillit une étape de contre-la-montre lors du Tour de France 2003. Les visiteurs ne se pressèrent pas aux portillons du parc et celui-ci fit faillite à son tour.
La région ne manque pourtant pas d’atouts, entre Massif central et bassin toulousain. L’ouverture d’une route nationale à deux voix entre Rodez, Albi et Toulouse a permis de désenclaver la zone et de la relier aux réseaux de communication. C’était la première chose à faire, dès les années 1970, pour permettre le renouveau économique de la région. C’est là que l’argent public aurait dû être dépensé en priorité, non dans le maintien d’une activité de charbonnage dépassée.
Toutes ces régions pauvres croulent sous l’argent public, le gaspillage, la corruption. Ce que l’on appelle pudiquement du nom de « socialisme ». Une idéologie qui continue à avoir ses admirateurs, dont on cherche pourtant les fruits positifs, quand les entrepreneurs et les créateurs d’entreprise, qui eux œuvrent réellement pour le progrès social et l’amélioration des conditions de vie, sont oubliés.
21 May, 2020
Carmaux : socialisme donc pauvreté
Jean-Baptiste Noé
Thursday, May 28, 2020
HISTORIA DE UN GOLPE DE ESTADO FALLIDO
HISTORIA DE UN GOLPE DE ESTADO FALLIDO
Fuente: Instituto de Libertades
https://institutdeslibertes.org/obama-gate-histoire-dun-coup-detat-foireux/
*El economista y analista financiero francés Charles Gave, considera que el Obamagate es un caso mucho más grave que el de Watergate, ya que se trata de una tentativa de golpe de estado preparado por un grupo criminal que ha tomado el control de las instituciones en Estados Unidos, apoyado en medios de prensa afines cuyo objetivo era (y es) el de desbancar al ganador de las elecciones, Donald Trump.
Por Charles Gave
Noviembre de 2016, Donald Trump es elegido presidente de los Estados Unidos contra todos los pronósticos. Antes de las elecciones se produjeron muchos intentos de desestabilizar su campaña (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort, etc.), de los que no hablaré, debido a la falta de espacio. De hecho, me voy a centrar casi exclusivamente en el caso del general Flynn, ya que me parece obvio que iba a ser abatido, ya que, probablemente ninguno como él estaba al tanto de todo.
Antes de presentar los hechos y solo los hechos, primero debo, como en una obra de teatro, enumerar los actores principales y las funciones que desempeñaron.
Todos conocen a Obama y Trump, pero en este caso, los personajes secundarios son igual de interesantes y comenzaré con la constelación de quienes rodearon a Obama.
Aquí está la lista, con sus funciones. Jo Biden, vicepresidente de los EE. UU. Y candidato en 2020 contra Trump. Loretta Lynch, Ministra de Justicia, secundada en sus funciones por Sally Yates, la número dos del mismo ministerio (DOJ) que tiene control sobre el FBI, la policía federal de EE. UU., cuyo jefe en aquel momento era James Comey. La asesora de seguridad nacional era Susan Rice, mientras que el jefe de la CIA era John Brennan y el jefe de las organizaciones de seguridad James Clapper.
Detengámonos en el general Michael T. Flynn. Demócrata, criado en una familia del mismo tenor, gran soldado chapado a la antigua, especialista en inteligencia y acción psicológica, teniente general; o sea con tres estrellas en la charretera, fue nombrado jefe de los servicios de inteligencia del ejército en julio de 2012 por el presidente Obama, cargo al que renunciará en abril de 2014, disgustado por el discurso gubernamental sobre los peligros del Islam militante, así como su aparente indiferencia hacia el poderío ruso.
Se une a la campaña de Trump y tras la elección presidencial es nombrado a puesto de Asesor de Seguridad Nacional. El hombre que susurra al oído del presidente sobre todos los asuntos relacionados con la defensa y la seguridad de Estados Unidos. Huelga decir que, como jefe del servicio de inteligencia militar, debía saber dónde estaban escondidas todas las cacerolas de Libia (Benghazi), Ucrania, Oriente Medio, Siria. Incluyendo la financiación del Estado Islámico por Hilary Clinton para derribar a Assad y va tú a saber en cuántos asuntos más.
Era, por lo tanto, el hombre que debía desaparecer de la escena, dado que sus revelaciones podrían haber puesto en peligro todo el aparato del Partido Demócrata y haber llevado a varios de sus líderes al banquillo por corrupción (véase el hijo de Jo Biden en Ucrania y China).
Que fueran a por él no era más que una cuestión de tiempo y es así cómo sucedió. Comencemos con la versión oficial.
En diciembre de 2016, el Partido Demócrata en los EE. UU. Denuncia que su servidor central ha sido «pirateado» e informa que los culpables son los servicios secretos rusos, que luego transmitieron la información publicada por Wikileaks; todo esto se presenta como una prueba tendiente a demostrar que los rusos buscaban elegir a Donald Trump. Todas estas afirmaciones se hacen públicas sin que el FBI haya tenido acceso a esta máquina para verificar las acusaciones de los demócratas, lo cual es … increíble y sin precedentes.
El 12 de enero de 2017, después de la elección de Trump, Ignatius, un reportero del Washington Post, publicó un artículo extremadamente comprometedor sobre el futuro presidente Trump, quien, durante una visita previa a Rusia, se habría dejado llevar por algunas fantasías sexuales en Moscú. El mensaje estaba claro. Putin poseía suficiente información sobre Trump como para obligar al nuevo presidente de los Estados Unidos a hacer lo que se le antojase.
El 24 de enero, el general Flynn, que asumió el cargo en la Casa Blanca el 20 de enero anterior, recibe una llamada telefónica del número tres del FBI Peter Stzrock para preguntarle si él y uno de sus colegas podrían reunirse para conocerse personalmente, lo que el general acepta. Llegan los dos compadres y le hacen algunas preguntas sobre una llamada telefónica que le hizo al embajador ruso (por supuesto, la conversación había sido grabada y el personal del FBI tenía las minutas); durante la misma Flynn había transmitido al embajador la intención de Trump de mejorar las relaciones entre los dos países.
Asombrado general dice que no recuerda muy bien, se niega a responder preguntas del FBI, y todos separan como buenos amigos. A los pocos días, sorpresivamente, el FBI acusa al general de haberse negado a responder a las preguntas que se le hicieron. El pobre hombre se ve obligado a renunciar, es llevado a los tribunales, para pagar su defensa se ve obligado a vender su propia casa. Termina declarándose culpable de un crimen que no cometió ante el temor de que el FBI ataque a su familia, concretamente a su hijo.
A estas alturas el caso de Trump parecía visto para sentencia. Un servidor del Partido demócrata pirateado por los rusos para facilitar su elección, un expediente salaz que sugería la posibilidad de que Trump fuera víctima de chantaje por parte de Moscú y un asesor presidencial que envía señales de apaciguamiento a Rusia antes de estar en el poder en Washington. Se ha dicho misa: Trump era un agente al servicio de Rusia.
Visto lo visto, los demócratas piden una comisión de investigación contra Trump. El Ministro de Justicia en ese momento, elegido por Trump, el Sr. Session, un ex senador del sur que había tomado una copa con el embajador ruso un año antes, y del que ya nadie sabrá si se comportó como un idiota, un traidor o ambos al mismo tiempo, se retira del caso y lo confía al número dos del Departamento de Justicia de la época, un Sr. Rosenstein, un hombre de estado profundo por más señas, que ni tardo no perezoso puso en marcha los mecanismos legales que conducirían a la creación de la comisión de investigación «Muller», por el apellido del ex jefe del FBI y gran amigo de Comey, la misma estaba formada solo por juristas del partido demócrata.
Esta comisión envenenará la vida de Trump durante dos años, antes de concluir en 2020 que no se había encontrado nada y que las acusaciones eran infundadas, algo que todos ellos sabían desde el principio.
Primer contratiempo para los demócratas. Pero esto es sólo el comienzo, porque entretanto, el general Flynn había cambiado de abogado porque el FBI seguía empeñado en meterlo en la cárcel durante seis meses a pesar de su «confesión». Realmente preocupado se despide del conocido bufete de abogados que tan mal lo había asesorado hasta ese momento y se pone entre las manos una asombrosa mujer, Sydney Powell.
La letrada hace correctamente su trabajo y comienza a desenredar la madeja para acabar descubriendo todo el pastel.
A continuación, detallaré la cronología de los hechos tal y como se produjeron.
Descubre que el FBI había puesto al general Flynn bajo vigilancia y escuchas telefónicas tan pronto como se unió a la campaña de Trump en marzo de 2016, lo cual era estrictamente ilegal. También descubre que el FBI, después de nueve meses de escuchar sus conversaciones, concluyó el 4 de enero de 2017 que no se podía culpar al general y que el caso tenía que cerrarse, algo a lo que Peter Stzrock se niega por orden directa de Comey, por lo que el general permanece bajo vigilancia.
Sydney Powell.
Descubre que el 5 de enero, Obama le pide a Comey que no revele a Trump que el general está bajo vigilancia, pretextando de que no estaba seguro si Trump era o no un agente ruso; lo que Comey acepta, cuando ni él ni tampoco Obama tenían la más mínima evidencia de la culpabilidad de Trump o del propio Flynn. De hecho, Comey continuará obedeciendo a Obama y traicionando a Trump, prevaricando que es gerundio, hasta que Trump lo despide.
Sydney Powell.
Descubre que el mismo 5 de enero de 2017, tuvo lugar una reunión en la Casa Blanca donde Obama, Biden, Clapper, Susan Rice, Sally Yates, Brennan, Comey están presentes. Al final de la reunión todos deciden tomar una decisión trascendental: hacer lo imposible para derribar a Flynn. ¿Quién da la orden de tenderle una trampa?
Eso está por saberse. Lo que sí está claro es que el plan ya estaba montado el 24 de enero, fecha de la reunión con Flynn.
La abogada Sydney Powell. tuvo acceso a las notas escritas a mano del agente que acompañó a Stzrock durante la visita. El mismo se interrogaba sobre los objetivos de la reunión, a saber: a) conseguir evidencia para despedirlo, b) meterlo en la cárcel o c) desacreditar a la administración Trump.
La orden de citar a Flynn bajo un falso pretexto venía de Comey, quien se jactó de ello en una reunión pública en la que se registraron sus comentarios. Fue precisamente durante esta visita que estos dos mafiosos tendieron una trampa al general, creando un delito (negativa a responder preguntas del FBI), cuando en realidad el general había acudido de buena fe a una reunión entre servidores del Estado.
Por ejemplo, no le leyeron sus derechos (Miranda), ni tampoco le informaron que podía ser asistido por un abogado. Más aun, es perfectamente legal mentirle al FBI si los investigadores carecen de orden judicial, como era el caso. En realidad, James Comey parecía estar siguiendo las enseñanzas de Beria a Stalin: «Desígneme al criminal que yo me encargo de encontrar las pruebas”.
Sydney Powell. Descubre que James Comey había mostrado el expediente ilegal el 6 de enero de 2017, el día después de la reunión con Obama en la Casa Blanca a Trump y a Flynn sabiendo que era falso de cabo a rabo (lo que demuestran las notas internas del FBI) y que el expediente había sido montado por un agente secreto inglés destacado en Rusia. El hombre recibió la mitad de su salario durante años del Congreso Nacional Democrático (DNC) y la otra mitad la pagaron los fondos de campaña de Hillary Clinton. Todo esto era conocido por Comey, quien sabía perfectamente que la ley electoral estadounidense prohíbe el empleo de extranjeros durante una campaña, algo que hicieron el DNC y Hillary Clinton en este caso.
Por otras fuentes, nos enteramos de que Comey, Clapper, Brennan & Co solicitaron las escuchas telefónicas de una gran parte de los equipos de Donald Trump antes y después del 20 de enero, utilizando este registro falso como justificación. Algo que hicieron a sabiendas de que era falso y sin notificarlo (por supuesto) a los jueces que emitieron los permisos, lo cual es un delito punible con cadena perpetua.
La Cámara de Representantes, dirigida por el Sr. Schiff, un fanático anti Trump, audicionó varias veces a todas estas personas, Comey, Brennan, Claper, Sally Yates, Susan Rice; cuyas declaraciones asegurando que habían visto, con sus propios ojos visto la evidencia de la culpa de Trump, eran retransmitidas durante todo el día por las cadenas de televisión NBC, CBS, CNN, también escribieron artículos para medios de prensa afines como el Washington Post o New York Times, etc.
Las actas oficiales de estas audiencias acaban de ser publicadas por Richard Grenelle, el alto funcionario a cargo de la preservación de este tipo de archivos para gran furia del Sr. Schiff, los demócratas y los medios de comunicación incriminados, ya que en realidad ninguna de estas personas dijo a la comisión haber visto alguna evidencia de la culpabilidad de Trump, porque estaban bajo juramento y corrían el riesgo de terminar en prisión por perjurio. Lo que no les impidió asegurar lo contrario tan pronto como salieron.
Sin embargo, lo más sorprendente es que los republicanos presentes en estas audiencias no hayan filtrado la verdad a la prensa amiga. De lo cual deduzco que Trump no solo tiene amigos en el partido republicano, y que el Estado profundo también lo tiene bajo su yugo (el senador Graham me viene a la mente, no sé por qué).
En estas audiencias, y bajo juramento, el jefe de CrowdStrike, la empresa que manejaba la computadora supuestamente pirateada del Partido Demócrata, dijo que no tenía evidencia de que la computadora fuera atacada, y mucho menos por el Rusos. Por lo tanto, es probable que esto también sea mentira. Si esto es así, ¿por qué Julien Assange sigue en prisión en Gran Bretaña por haber sido cómplice del robo en la computadora DNC, que probablemente nunca tuvo lugar? ¿Y todo a petición del Departamento de Justicia de los Estados Unidos, una guarida de ladrones? Assange debe ser liberado de inmediato.
Acabamos de enterarnos, el viernes pasado, de que Jo Biden había solicitado y obtenido las escuchas telefónicas, no de los enemigos de los EE. UU., sino de sus adversarios políticos, lo cual es otro crimen.
Lo mismo para Sally Yates, Susan Rice, Clapper Brennan, quienes, concretamente, al final del segundo mandato de Obama, estaban desesperados por saber los planes de campaña de Trump.
Todas estas escuchas eran ilegales. El senador republicano Rand Paul va a convocarlos a todos próximamente para responder a sus preguntas bajo juramento, incluido el Sr. Biden, quien no parece tener un gran respeto por la Ley y tendrá que venir a explicarse antes de las elecciones en el Senado y ante los republicanos. En mi opinión, la carrera de Biden se detendrá abruptamente, y puede que hasta tenga que pasar una temporada en la cárcel acompañado por sus camaradas del partido. A partir de ahí ¿quién será el candidato demócrata y cómo será nominado? Es la pregunta que me hago.
Y finalmente, la guinda del pastel. El Departamento de Justicia, ha pedido de Sidney Powell que retire todos los cargos contra el general Flynn, lo que no impide que el juez Sullivan, gran amigo de Eric Holder, el ex ministro de justicia de Obama durante años, persista en juzgarlo por un perjurio que nunca cometió. Este debe ser el primer caso en la historia de Estados Unidos en el que la fiscalía asegura que el acusado es completamente inocente y que ha sido, además, víctima de un escarnizamiento judicial; pero que aun así el juez tenga la intención de seguir adelante con la causa. En mi opinión, la Corte Suprema tendrá que intervenir.
Me detengo aquí no por falta de material, podría escribir el doble de lo que ya he escrito, pero he llegado al punto en que no queda nada más por demostrar vistas las abrumadoras evidencias expuestas anteriormente. Agreguemos para terminar que ahora que Flynn ha sido liberado, podrá contarlo todo.
En resumen, este caso es mucho más grave que el Watergate, donde Nixon había tratado torpemente de cubrir a unos inútiles que habían intentado robar las instalaciones del DNC sin que se lo ordenaran. Esto se trata de un intento de golpe de estado, cuidadosamente preparado por un grupo criminal, que había tomado el control de los servicios secretos, el FBI y el Ministerio de Justicia antes del cambio de gobierno, unidos todos con un único objetivo: deshacerse de un hombre que había ganado legalmente las elecciones.
La operación fue cubierta insistentemente por los medios oficiales (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) que, por el momento, se niegan a tratar este caso que, es probablemente el mayor escándalo político en la historia de los Estados Unidos. Solo Fox y Breitbart lucharon para apoyar al presidente electo a pesar de los anatemas de los bien pensantes.
A mi parecer, creo que después del Watergate, todos los periodistas (de izquierda) del mundo se han creído que su papel es el de derribar los regímenes “de derecha”; ya que las derechas son malas por definición, todos los medios, incluyendo los criminales están justificados. Actualmente, muchos periodistas creen que destruir a la derecha, justifica todos los medios sin caer en cuenta que es así es como desaparece el estado de derecho.
Y como de costumbre, esta ideología también llegó a Francia años más tarde, lo que significa que padecemos la misma enfermedad. El objetivo de muchos periodistas franceses hoy es pura y simplemente el de destruir a las personas que creen en las ideas de derecha, evitando que se expresen públicamente como sea. Conclusión: ¿Cómo se reconoce hoy los periodistas de izquierda? Sencillo: en que todos están a favor de la censura…
Por lo tanto, estos delincuentes y sus cómplices en los medios de comunicación deben ser llevados a juicio y podrirse en la cárcel por mucho tiempo. Confío en los señores Barr (el nuevo Ministro de Justicia, que me recuerda a un sabueso Droopy basset) y Durham (el fiscal especial elegido por el Sr. Barr, que se me antoja a un hurón) para completar sus investigaciones antes de las próximas elecciones presidenciales; pues si Trump fuera derrotado, todo lo ocurrido quedará impune. El verano será candente, incluso abrasador en Washington y durará hasta principios de noviembre, fecha de las elecciones presidenciales.
Lo último que quiero decir es que el presidente Trump ha demostrado una fuerza increíble y una resistencia asombrosa a lo largo de todo este período. Cualquier otra persona habría salido derrotada o perdido la cordura, lo que me parece admirable. Si es reelegido, no tengo dudas de que los Clinton, y en particular la Sra. Clinton, serán encarcelados junto con el resto de los demás delincuentes que han tratado de fomentar un golpe de estado en los Estados Unidos. Queda la pregunta de qué pasará con Obama, el principal conspirador. ¿Quizás Trump lo perdone por respeto a la institución presidencial? Esto sería un golpe fatal para la inmensa vanidad de ese tartufo santurrón.
Si lo ocurrido se traduce en condenas judiciales, entonces la atmósfera en el mundo volverá a ser respirable y el peligro de guerra retrocederá en todas partes, ya que el estado profundo estadounidense habrá sido destruido. Recordemos que esta fue la primera promesa electoral del presidente Trump. ¡Esperemos que ocurra lo mismo en Francia!
Fuente: Instituto de Libertades
by Charles Gave
18 May, 2020
Obama Gate : Histoire d’un coup d’Etat Foireux.
by Charles Gave
Novembre 2016, Donald Trump est élu Président des Etats-Unis à la surprise de tous les gens bien informés. De nombreuses tentatives de déstabilisation de sa campagne avaient eu lieu avant l’élection (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort etc..), dont je ne vais pas parler, faute de place.
Novembre 2016, Donald Trump est élu Président des Etats-Unis à la surprise de tous les gens bien informés. De nombreuses tentatives de déstabilisation de sa campagne avaient eu lieu avant l’élection (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort etc..), dont je ne vais pas parler, faute de place.
En fait, je vais m’intéresser presque exclusivement au cas du général Flynn tant il me parait évident qu’il est l’homme qui devait être détruit car sans doute aucun il en savait trop.
Avant de présenter les faits et uniquement les faits, il me faut d’abord, comme dans une pièce de théâtre, répertorier les principaux acteurs ainsi que les fonctions qu’ils occupaient.
Tout le monde connait Obama et Trump, mais dans ce cas-là, les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et je vais commencer par la constellation de ceux qui entouraient Obama.

Tout le monde connait Obama et Trump, mais dans ce cas-là, les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et je vais commencer par la constellation de ceux qui entouraient Obama.

En voici la liste, avec leurs fonctions.
Jo Biden, Vice-Président des USA et candidat en 2020 contre Trump.
Loretta Lynch, ministre de la Justice, secondée dans ses fonctions par Sally Yates, numéro deux du même ministère (le DOJ) qui a la tutelle sur le FBI, la police fédérale US, dont le patron était James Comey.
La conseillère pour les affaires de sécurité (Nationale Security Advisor) était Susan Rice tandis que le chef de la CIA était John Brennan et le patron des organisations de sécurité James Clapper.
Venons-en au général Michael T Flynn.
Démocrate, issu d’une famille démocrate, grand soldat s’il en fût, spécialiste du renseignement et de l’action psychologique, Lieutenant Général, c’est-à-dire général trois étoiles, il est nommé à la tête des services de renseignement de l’armée en Juillet 2012 par le Président Obama et donnera sa démission en Avril 2014, le pouvoir en place n’aimant guère ses discours sur les dangers que représentaient l’Islam militant ainsi que son apparente indifférence au danger Russe.
Il rejoint la campagne de Trump pour être nommé, après l’élection au poste prestigieux de « National Security Advisor », celui qui murmure à l’oreille du Président pour toutes les questions relatives à la défense et à la sécurité des USA.
Inutile de dire qu’en tant que chef du service de renseignement de l’armée, il devait être au courant de l’endroit où tous les cadavres étaient enterrés en Lybie (Benghazi), en Ukraine, au Moyen-Orient, en Syrie avec le financement d’Isis par Hilary Clinton pour faire tomber Assad et que sais-je encore.
Il était donc l’homme à abattre, car ses révélations auraient pu mettre en cause tout l’appareil du parti démocrate et en conduire un certain nombre en prison, pour corruption (voir le fils de Jo Biden en Ukraine et en Chine).Et abattu, il le fut très vite, et voici la façon dont cela s’est passé.
Commençons par la version officielle.
En Décembre 2016, le parti Démocrate aux USA se rend compte que son ordinateur central a été « hacké « et fait savoir que les coupables sont les services secrets Russes, qui ont transmis les informations ensuite à Wikileaks, qui les publient, ce qui est bien sûr une preuve que les Russes cherchaient à faire élire Donald Trump.
Notons que le FBI n’a jamais eu accès à cette machine pour vérifier ces affirmations, ce qui est …étonnant et sans précédent.
Le 12 Janvier 2017, après l’élection de Trump, Ignatius, grand reporter au New-York Times, sort un dossier extrêmement compromettant sur le futur Président Trump, qui, lors d’une visite antérieure en Russie, se serait livré à quelques fantaisies sexuelles à Moscou.
Le message est clair. Poutine a suffisamment d’informations de ce type sur Trump pour forcer le nouveau Président des USA à faire ce qu’il lui dira de faire.
Le 24 Janvier, le général Flynn, qui a pris ses fonctions à la maison blanche le 20 janvier précèdent prend un coup de téléphone du numéro trois du FBI, Peter Stzrock lui demandant si lui et l’un de ses collègues peuvent passer le voir pour faire connaissance, ce qu’il accepte.
Les deux compères arrivent et lui posent quelques questions sur un coup de téléphone qu’il a donné à l’ambassadeur Russe (sous écoute bien entendu, et dont le personnel du FBI avait les minutes), et dans lequel il demandait à l’ambassadeur de faire passer le message que Trump voulait revenir à de meilleures relations avec la Russie.
Le général dit qu’il ne se souvient pas très bien, refusant ainsi de répondre aux questions du FBI, et tout le monde se sépare bons amis.
Coup de tonnerre : Dans les jours qui suivent, le FBI met en accusation le général pour avoir refusé de répondre au FBI lors de son interview et notre homme est obligé de démissionner, pour être ensuite trainé devant les tribunaux, forcé de vendre sa maison pour payer sa défense et finir par se reconnaitre coupable d’un crime qu’il n’a pas commis lorsque le FBI lui dit que s’il continue à se défendre, ils vont s’en prendre à son fils.
Le cas Trump semble clos :
Pénétration de l’ordinateur du parti Démocrate par des Russes, dossier salace prouvant que Trump était susceptible d’être la victime d’un chantage de la part de Moscou et principal conseiller faisant des offres d’apaisement à l’ambassadeur de Russie avant même d’être au pouvoir à Washington. La messe était dite, Trump était un agent au service de la Russie.
Une commission d’enquête est demandée contre Trump par les démocrates. Le ministre de la Justice de l’époque, choisi par Trump, monsieur Session, ancien Sénateur du Sud qui avait pris un verre avec l’ambassadeur Russe un an avant et dont nul ne saura jamais s’il était idiot, complice ou les deux à la fois, se désiste et confie le dossier au numéro deux du DOJ de l’époque, un monsieur Rosenstein, homme de l’état profond s’il en fut qui enclenche les mécanismes légaux qui mèneront à la création de la commission d’enquête dite de « Muller », ancien patron du FBI et grand copain de Comey où ne figureront que des juristes démocrates.
Cette commission va empoisonner la vie de Trump pendant deux ans avant de rendre ses conclusions en 2020 en concluant qu’ils n’ont rien trouvé et qu’il n’y a rien dans le dossier, ce que tout le monde savait au bout de trois mois.
Premier coup dur pour les démocrates.
Mais ce n’est que le début. Le général Flynn change d’avocat, car le FBI, loin de le laisser tranquille après ses « aveux », veut lui faire faire six mois de prison. Il demande à un avocat absolument remarquable, une femme, Sydney Powell, de le défendre, virant la grande firme d’avocats qui l’avaient for mal défendu jusque-là. Et cette femme fait découverte stupéfiante après découverte stupéfiante et je vais les citer non pas dans l’ordre où elle les a faites, mais dans leur chronologie
Sydney Powell,
2. Elle découvre que le 5 Janvier, Obama demande à Comey de ne pas dire à Trump que le général est sous surveillance parce qu’Obama ne serait pas sûr que Trump ne soit pas un agent Russe, ce à quoi Comey acquiesce, alors que ni lui ni Obama n’ont la moindre preuve de quoi que ce soit contre Trump ou Flynn. En fait, Comey continuera à obéir à Obama et à trahir Trump ce qui est une forfaiture, jusqu’à ce qu’il soit viré par Trump.
3. Elle découvre que le même 5 Janvier 2017, une réunion a eu lieu à la Maison Blanche où sont présents Obama, Biden, Clapper, Susan Rice, Sally Yates, Brennan, Comey… et que la décision est prise à la fin de la réunion de tout faire pour faire tomber notre général. Et l’ordre est donné (par qui ?) de monter un piège pour faire tomber Flynn.
Ce qui fut fait lors de la visite à Flynn du 24 Janvier. On a retrouvé les notes manuscrites de l’agent qui accompagnait Stzrock lors de la visite et il voulait savoir si le but était
1) de le faire virer,2) de le mettre en prison ou 3) de discréditer l’administration Trump.
Et l’ordre, parfaitement illégal de faire cette visite, fut donné par Comey qui s’en est vanté dans une réunion publique dans laquelle ses propos ont été enregistrés.
Et c’est pendant cette visite que les deux mafieux ont piégé le général en créant un crime (refus de répondre aux questions du FBI), là où il n’y en avait pas alors que le général pensait que c’était une visite amicale.
Par exemple, ils n’ont pas précisé au général quels étaient ses droits (Miranda), qu’il pouvait se faire aider d’un avocat. Qui plus est, il est parfaitement légal de mentir au FBI si cela porte sur question pour laquelle ils ne sont pas mandatés.
Or ils n’étaient mandatés pour rien du tout, ayant été envoyés par James Comey « au culot ». On pense à la phrase de Beria à Staline : « Désignez- moi le criminel, je me charge de trouver le crime ».
Sydney Powell,
4. Elle découvre que James Comey avait montré le dossier crapuleux le 6 Janvier 2017, le lendemain de la réunion avec Obama à la maison blanche à Trump et Flynn en sachant qu’il était faux de bout en bout (ce que les notes internes du FBI prouvent) et que ce dossier monté par un agent secret anglais en poste en Russie pendant des années a été payé par le Democratic National Congress (DNC) pour 50 % et par la campagne d’Hillary Clinton pour les 50 % restant, ce que savait parfaitement Comey. Or le code électoral américain interdit de faire travailler un non-citoyen lors d’une campagne, ce qu’ont fait le DNC et Hillary Clinton.
5. Par d’autres sources, on apprend que Comey, Clapper, Brennan & Co ont demandé la mise sous écoutes d’une grande partie des équipes de Donald Trump avant et après le 20 Janvier, en utilisant ce faux dossier comme justification, ce qui fût fait, en sachant qu’il était faux et sans en prévenir les juges qui délivraient les autorisations, ce qui est crime passible de la prison à vie.
6. La chambre des représentants, conduite par monsieur Schiff, un fanatique anti Trump, a fait passer de nombreuses auditions à tous ces gens, Comey, Brennan, Claper, Sally Yates, Susan Rice qui passaient ensuite sur NBC, CBS, CNN ou donnaient des articles au Washington Post ou au New York Times etc. en assurant qu’ils avaient vu, de leurs yeux vu les preuves de la culpabilité de Trump.
Les minutes officielles de ces auditions viennent d’être publiées par Richard Grenelle, le haut fonctionnaire en charge de la conservation de ce genre de dossiers à la grande fureur de monsieur Schiff, des démocrates et des media.
Aucune de ces personnes n’indique avoir jamais vu la moindre preuve d’une quelconque culpabilité de Trump, car cette fois- là, chacun était sous serment et risquait la prison à vie en cas de parjure. Ce qui ne les empêchait pas continuer de mentir dès qu’ils étaient sortis.
Le plus étonnant est cependant la réalité suivante : pourquoi donc les Républicains présents lors de ces auditions n’ont-ils pas fait « fuiter » ces informations à leurs amis dans la presse ?
D’où j’en déduis que Trump n’a pas que des amis au parti Républicain et que l’état profond a soigneusement noyauté le parti républicain aussi… (Le Sénateur Graham vient à l’esprit, je ne sais pas pourquoi.).
7. Dans ces auditions – et sous serment-le patron de CrowdStrike, la firme qui gérait l’ordinateur soi-disant hacké du parti démocrate, a dit qu’il n’avait aucune preuve que l’ordinateur ait été attaqué et encore moins par les Russes.
Il est donc probable que cela aussi était un mensonge, mais alors pourquoi Julien Assange est-il encore en prison en Grande-Bretagne pour avoir été complice du viol de l’ordinateur du DNC, qui n’a probablement jamais eu lieu, et cela à la demande du ministère de la Justice des USA, ce repaire de brigands ? Assange doit être libéré tout de suite.
8. On vient d’apprendre- vendredi dernier- que Jo Biden avait demandé et obtenu la mise sur écoutes non pas des ennemis des USA mais de ses adversaires politiques américains, ce qui est un autre crime.
Et de même pour Sally Yates, Susan Rice, Clapper Brennan qui tous, et en particulier à la fin du deuxième mandat d’Obama, voulaient absolument savoir ce que préparait Trump.
Et toutes ces écoutes étaient illégales.
Déjà, le Sénateur Républicain Rand Paul va les convoquer tous pour qu’ils répondent à ses questions sous serment, y compris monsieur Biden, qui ne semble pas avoir un respect très élevé pour la Loi et va devoir venir s’expliquer avant les élections, au Sénat et devant des Républicains. A mon avis la carrière de Biden va connaitre un arrêt brutal et il va peut-être devoir passer par la case « prison » où il risque d’être entouré de camarades du parti. Qui sera le candidat Démocrate et comment ce candidat sera t’il désigné ? … est donc la question suivante.
9. Et pour finir, cerise sur le gâteau, le DOJ, à la demande de Sidney Powell, a retiré toutes les charges contre notre général, ce qui n’empêche pas le Juge Sullivan, grand copain d’Éric Holder, lui-même ex-ministre de la Justice d’Obama pendant quelques années, de vouloir continuer à le juger pour un parjure qui n’a jamais eu lieu.
Ce doit être le premier cas dans l’histoire des USA où le parquet dit que le prévenu est complètement innocent et qu’il a été victime d’une tentative d’assassinat judiciaire abominable et que le juge entend continuer à le juger.
A mon avis la Cour Supreme va devoir intervenir.
Je m’arrête ici non faute de matériel, je pourrais écrire le double de ce que j’ai déjà écrit mais je suis arrivé au point « CQFD », où il n’y a plus rien à prouver tant les faits sont accablants.
Je m’arrête ici non faute de matériel, je pourrais écrire le double de ce que j’ai déjà écrit mais je suis arrivé au point « CQFD », où il n’y a plus rien à prouver tant les faits sont accablants.
Rajoutons que maintenant que Flynn a été innocenté, il va pouvoir parler…
Résumons.
Cette affaire est infiniment plus grave que le Watergate, où Nixon avait simplement essayé de couvrir maladroitement quelques bras cassés qui avaient tenté de cambrioler les locaux du DNC sans en avoir reçu l’ordre.
Résumons.
Cette affaire est infiniment plus grave que le Watergate, où Nixon avait simplement essayé de couvrir maladroitement quelques bras cassés qui avaient tenté de cambrioler les locaux du DNC sans en avoir reçu l’ordre.
Là, il s’agit d’une tentative de coup d’état, préparé avec soin par un groupe criminel, qui avait pris le contrôle des services secrets, du FBI et du Ministère de la Justice, tous noyautés à mort avant le changement d’administration, pour se débarrasser d’un homme qui avait gagné les élections à la loyale.
Et cette action a été totalement couverte par ce qu’il est convenu d’appeler les media officiels (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) qui, pour l’instant, refusent de mentionner ce qui est sans doute le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis, en parlant d’une manœuvre de diversion.
Et cette action a été totalement couverte par ce qu’il est convenu d’appeler les media officiels (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) qui, pour l’instant, refusent de mentionner ce qui est sans doute le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis, en parlant d’une manœuvre de diversion.
Seuls Fox et Breitbart se sont battus pour soutenir le Président élu sous les lazzis des bien-pensants.
Et voici ma conclusion :
je crois que depuis Watergate, les journalistes du monde entier se sont dits que leur rôle était de faire tomber les régimes « de droite » et que pour cela, puisque la droite était dans son essence mauvaise, tous les moyens étaient bons, y compris criminels. Pour beaucoup de journalistes, aujourd’hui, la fin -détruire la droite-justifie les moyens.
Et c’est comme cela que l’état de droit disparait.
Et comme toujours, cette maladie est arrivée chez nous quelques années après et nous souffrons donc du même mal. Le but de nombre de journalistes français est aujourd’hui purement et simplement de détruire les gens de droite, en les empêchant de s’exprimer par tous les moyens.
Et comme toujours, cette maladie est arrivée chez nous quelques années après et nous souffrons donc du même mal. Le but de nombre de journalistes français est aujourd’hui purement et simplement de détruire les gens de droite, en les empêchant de s’exprimer par tous les moyens.
Conclusion :
A quoi donc aujourd’hui reconnait -on un journaliste de gauche (pléonasme) ? Au fait qu’il est favorable à la censure…
Il faut donc que ces criminels et leurs complices dans les media passent en jugement et aillent en prison et pour tres longtemps. Je fais confiance à messieurs Barr (le nouveau ministre de la Justice, qui ressemble beaucoup à Droopy le basset et qui a l’air d’en avoir la ténacité) et Durham (le procureur spécial choisi par monsieur Barr, qui lui ressemble à un furet) pour terminer leurs enquêtes avant la prochaine élection présidentielle, car si Trump était battu, tout cela resterait impuni. L’été va être chaud, voire caniculaire à Washington et va durer jusqu’au début Novembre, date des élections présidentielles.
Et ma dernière remarque sera pour dire que le Président Trump a fait preuve d’une incroyable force et d’une résistance stupéfiante pendant toute cette période.
Il faut donc que ces criminels et leurs complices dans les media passent en jugement et aillent en prison et pour tres longtemps. Je fais confiance à messieurs Barr (le nouveau ministre de la Justice, qui ressemble beaucoup à Droopy le basset et qui a l’air d’en avoir la ténacité) et Durham (le procureur spécial choisi par monsieur Barr, qui lui ressemble à un furet) pour terminer leurs enquêtes avant la prochaine élection présidentielle, car si Trump était battu, tout cela resterait impuni. L’été va être chaud, voire caniculaire à Washington et va durer jusqu’au début Novembre, date des élections présidentielles.
Et ma dernière remarque sera pour dire que le Président Trump a fait preuve d’une incroyable force et d’une résistance stupéfiante pendant toute cette période.
N’importe qui d’autre y aurait laissé sa peau et sa santé mentale, ce qui lui vaut toute mon admiration. S’il est réélu, je ne doute pas que les Clinton et en particulier madame Clinton, rejoindront en prison tous les autres criminels qui se sont essayés à fomenter un coup d’état aux USA.
Reste la question de ce qui arrivera à Obama, le comploteur en chef.
Peut-être Trump le graciera-t-il par respect pour la fonction Présidentielle ?
Voilà qui serait un coup mortel pour la vanité immense de ce tartuffe sanctimonieux.
Si tout cela est suivi de condamnations, alors l’atmosphère dans le monde deviendra à nouveau respirable et le danger de guerre reculera partout, l’état profond américain ayant été détruit, ce qui, après tout, était la première promesse électorale du Président Trump. Souhaitons que la même chose arrive en France !
Si tout cela est suivi de condamnations, alors l’atmosphère dans le monde deviendra à nouveau respirable et le danger de guerre reculera partout, l’état profond américain ayant été détruit, ce qui, après tout, était la première promesse électorale du Président Trump. Souhaitons que la même chose arrive en France !
Subscribe to:
Posts (Atom)
How Jim saved his family
@swaffarcongress HELP PATRIOT DARLENE SWAFFAR FLIP FLORIDA DISTRICT 22 🇺🇲 Darlene Swaffar for Congress, #22 FL @swaffarcongress...
-
How Many Buffalos Were Killed During the Settlement of the Western United States? Historians estimate that there were perhaps 3...
-
IN THE BOOK THE CHAPTER DEDICATED TO : CORE VALUES THERE IS MENTION OF THE INTERFERENCE OF HILLARY IN THE SECURITY AGENCIES TO STOP TH...
-
The “climate doom” timeline Anthony Watts / 2 weeks ago September 29, 2019 Have you ever wanted a nice, compact image you cou...